LA DYNASTIE CAROLINGIENNE
Introduction: Les Rois
De son début à sa chute, la dynastie carolingienne est marquée par les triomphes et les échecs tous les deux. Les rois de cette période étaient ambitieux et inébranlables, défendant leur croyances et leurs décrets jusqu’à la fin de leurs vies. Pépin le Bref commence cette période avec son ascension au roi des Francs, encourage un lien avec l’Église catholique pour assurer le succès de ses descendants. Son fils, Charlemagne, devient plus tard une légende par ses exploits militaires et sa contribution à la stabilité de l’empire. On voit des graines de la chute avec Louis le Pieux, dans l’ombre de son père Charlemagne, comme il essaye désespérément à créer une unité malgré sa pénurie de charisma et popularité publique. La fin est en vue avec les fils de Louis le Pieux, qui s’étripent pour le pouvoir politique en fracturant le royaume des Francs. Telle est l’histoire de la dynastie carolingienne.
Pépin le Bref
Cette statue montée de Pépin était dessinée par un peintre de la cour allemande pour le <<Alte Mainbrücke>>, un pont décoratif à Bayern, Allemagne. Claude Curé, un sculpteur, a sculpté cette statue ainsi que cinq autres statues sur le côté nord du <<Alte Mainbrücke.>> Cette statue est un rappel du grand héritage et des fondations de Pépin pendant son règne.
De son début, Pépin devait s'établir lui-même comme une force du roi. Son père, Charles Martel régnait comme un roi mais sans le titre; alors, sur sa mort, la responsabilité à protéger le royaume incombait à Pépin et son frère Carloman. Un homme pieux, Carloman a abdiqué pour prendre sa retraite à l’abbaye, ce qui a permis à Pépin de prendre le trône pour lui-même en 751.
Pour s’établir comme un roi légitime, Pépin renforçait un lien avec l’Église catholique à travers <<le sacre>>. C’est une cérémonie où le pape oint la tête du roi avec l'huile sainte. Avec le sacre, le roi est comme une personne choisie par Dieu pour régner. À l’avenir, le sacre devient une tradition des rois pour assurer leur règne. C’est le début des fondations fortes de la dynastie carolingienne.
À la mort de Pépin, le royaume était divisé équitablement entre ses fils: Carloman et Charles (plus tard Charlemagne).
Une Statue de Pépin le Bref (pierre), Clemens Lünenschloß et Claude Curé, 1725, Alte Mainbrücke à Bayern en Allemagne
Charlemagne
Cette peinture murale, se créé pendant la Renaissance Italienne, était dessinée par Raffaello Sanzio da Urbino (Raphael) et était peint par Gianfrancesco Penni. Ce utilisé à décorer une collection des chambres qui s’appellent Stanze di Raffaello dans le palais apostolique du Vatican. Cette peinture murale représente le couronnement de Charles comme le roi des francs et l'empereur de l’empire romain par le pape Léon III la veille de Noël en 800.
Avant que Charles était couronné le seul roi des francs, il régnait avec son frère Carloman à la mort de leur père Pépin. Carloman régnait sur le centre de la royaume franque, avec sa capitale à Soissons, et Charles régnant sur la terre dans l'environ. Des frères avaient une relation tendue; cependant, à la mort de Carloman, Charles ne hésistait pas à prendre le trône. À son accession, il devenait Charlemagne.
Pendant son règne, Charlemagne participait à beaucoup d'exploits militaires à gonfler son territoire. Il dirigeait une série des compagnes à Saxe entre 773-803, qui lui ont gagné le territoire entre le Rhin et l’Elbe. À 774, le pape Hadrien I a demandé à Charlemagne de la protection contre des envahisseurs en Italie. Charlemagne a vaincu les envahisseurs entraînant sa conquête de Lombardie. À 778, Charlemagne s’aventurait en Espagne; cependant sur rencontrait des batailles intenses, son armée se repliait. La bataille de Roncevaux, un embuscade sur l’armée franque par les basques, a fini officiellement la campagne espagnol.
Par sa réputation comme un guerrier et son contrôle de ses challengers de proches et de loins, Charlemagne centralisait le pouvoir gouvernemental sous lui-même pour renforcer et stabiliser l’empire.
Le couronnement de Charlemagne (une peinture murale), Raffaello Sanzio da Urbino et Gianfrancesco Penni, 1516-1517, Stanza dell'Incendio di Borgo en les musées du Vatican.
Munus divinum médaillon de Louis le Pieux (d’or), 816-830
Louis le Pieux
Ce médaillon d’or montre le buste de Louis le Pieux avec l'inscription <<DN LVDOVVICVSIMP AVG>>. Cette inscription désignait le titre de l’empereur romain. Sur le revers du médaillon, il y a une croix entourée de couronne de fleurs et l’inscription <<MVNVS DIVINVM>>, qui signifiat cadeau divin. Ce suggère que cette pièce était destinée à être présentée au Pape. Pendant cette période beaucoup de pièces de monnaie étaient d’argent, mais cette pièce est d’or pour une occasion spéciale: la fête du couronnement impérial de Louis le Pieux en 816. Ce médaillon est une symbole du pouvoir du roi et de l’unité entre le roi et l’Église.
Avec ce médaillon et d'autres efforts, Louis essayait de montrer des signes apparents de son pouvoir comme le roi. Louis le Pieux était le fils survivant de Charlemagne, alors il a hérité tout le royaume de son père. Beaucoup d’aristocrates franques étaient mécontentes parce qu’elles pensaient que Louis était une menace à leur indépendance. Les aristocrates ne veulaient pas le pouvoir du gouvernement être centralisé sous un homme seul.
Malgré cette opposition, Louis essayait d'unifier l’empire; mais, contrairement à son père, Louis était impulsif et il n’était pas du charisme à gagner les nobles à la côté. En 817, Louis établissait la <<primogéniture>>, alors le plus vieux des fils, Lothaire, héritait de la majorité du royaume plutôt d’un partage égal de le territoire entre ses frères cadets Pépin I et Louis le Germanique, comme était la coutume. Mais, Louis contredisait la tradition des rois et aussi les envies des nobles d'avoir une monarchie décentralisée. Le problème était rallumé en 823 après le seconde mariage de Louis le Pieux parce qu’il avait un autre fils, Charles le Chauve, qu’il essayait incorporer dans la division de territoire. Par conséquent, il y avait de la tension entre le roi, les princes et les nobles.
Il y avait beaucoup de guerres civiles à la fin du règne de Louis pour le pouvoir et le territoire. Lothaire avec ses frères se rebellaient contre son père et provoquaient une épreuve de pouvoir qui aidait les nobles à gagner plus d’influence.
Une carte de France et pays voisins après le traité de Verdun en 843, Auguste Longnon, 1885-1907, Atlas historique de la France depuis César jusqu’à nos jours
Les fils de Louis le Pieux
Cette carte montre les divisions du royaume entre les fils de Louis le Pieux après le traité de Verdun en 843. À la mort de Louis le Pieux en 840, Lothaire était l’empereur; mais, ses frères cadets survivants, Charles le Chauve et Louis le Germanique, formaient officiellement une alliance contre Louis le Pieux en 842 avec <<Les serments de Strasbourg>>.
Pendant cette période, la langue des traités était le latin; mais Charles le Chauve et Louis le Germanique voulaient que les serments de Strasbourg être dans la langue populaire à solidifier l’alliance entre leur peuples. Cependant, les langues de leur peuples étaient différentes. Au territoire de Louis le Germanique, la langue était le francique, qui était le précurseur au allemand. Au territoire de Charles le Chauve, la langue était une forme de latin, <<la langue d’oïl>>, qui était le précurseur au français. Alors, Charles le Chauve parlait ces serments devant l’armée de Louis le Germanique en francique, et Louis parlait ces serments devant l’armée de Charles en la langue d'oïl.
La guerre civile entre les trois frères durait pour 3 ans au total et s'est terminée à la bataille de Fontenoy où les forces de Lothaire étaient vaincues par l’alliance de Charles et Louis. Lothaire était forcé d'accepter le traité de Verdun par ses frères. Ce traité divisait plus équitablement les territoires entres les frères. Charles le Chauve acquérait la partie de l’ouest de l’empire, y compris l’Aquitaine; pendant, Louis le Germanique acquiérait la partie de l’est de l’empire, y compris Bavière. Lothaire conservait la partie de l’milieu de l’empire.
Mais, cettes disputes des territoires continueraient à travers la dynastie carolingienne. Cette désunion conduisait le déclin de la dynastie carolingienne.